par Papangue CA 
L’addiction croissante au «real estate porn», caractérisée par une obsession pour les annonces immobilières, crée des défis significatifs pour les agents immobiliers. Cette tendance, alimentée par les médias, les réseaux sociaux, et les aspirations personnelles, nécessite des solutions innovantes, dont la visite virtuelle haut de gamme apparaît comme l’arme ultime.
Le concept du « Real estate porn » semble être associé à un sentiment complexe, mélange de honte et de tristesse. Être « accro aux annonces immobilières » serait la manifestation de cette forme d’addiction, révélée dans les pages du Figaro ce dimanche 28 janvier. Cette réalité, bien que peu connue, pourrait être plus répandue qu’on ne l’imagine. Selon Le Figaro, le «real estate porn» représente une obsession maladive en expansion, impactant particulièrement les consommateurs compulsifs. Ces individus présentent divers profils, tels que les mythomanes en quête de valorisation à travers des biens d’exception, ceux recherchant des propriétés plus vastes que nécessaire, ou encore ceux cherchant des bonnes affaires à tout prix. Ces comportements sont souvent liés à un besoin d’estime de soi, la recherche de satisfaction personnelle, ou le désir de contrôler le marché.
Cette dépendance est alimentée par la prolifération des émissions télévisées immobilières sur ces 10 dernières années, créant un rêve immobilier attractif. Des plateformes comme Netflix capitalisent également sur cette tendance en diffusant des séries-réalité mettant en scène des agents immobiliers et des biens de luxe au travers de ‘l’Agence’ ou « The Agency » pour sa version US. Les réseaux sociaux, avec leurs images filtrées, leurs vidéos agrémentées de musiques tendances, jouent un rôle clé en stimulant l’excitation du public.
Face à cette réalité, les professionnels de l’immobilier doivent ajuster leurs stratégies pour attirer la nouvelle génération d’acheteurs, principalement actifs en ligne. La visite virtuelle haut de gamme émerge comme une réponse essentielle à cette «addiction au real estate porn», offrant une expérience immersive qui transcende les simples photos d’annonces, répondant ainsi à leur besoin tout en évitant la visite inutile auprès de l’agence.
La visite virtuelle haut de gamme représente une solution novatrice et efficace pour contrer l’impact négatif de l’«addiction au real estate porn», offrant une approche plus immersive et qualitative pour les acheteurs potentiels.
L'Antidote Efficace pour lutter contre le "Real Estate Porn"
La solution tient en deux mots : VISITE VIRTUELLE mais pas n’importe laquelle.
C’est pourquoi la visite virtuelle est devenue un enjeu si important pour certaines agences immobilières spécialisées sur les biens Prestige, c’est le cas pour les agences John Taylor, Zingraf, Papangue Immobilier ou encore Sotheby’s qui ont été les premières à y être véritablement confrontées. Elles ont choisi une visite haut de gamme afin de pouvoir combler au maximum l’utilisateur dans sa recherche d’authentique, de vrai.
Mais ce n’est pas l’unique raison qui les pousse à investir dans la visite virtuelle : Il y a en effet plusieurs raisons qui vont à la fois dans l’intérêt du client et celle de l’agence.
– Préserver l’intimité de sa clientèle : fini les journées interminables avec 30 visites qui s’enchaînent chez le client vendeur, bien souvent présent sur les lieux pour garder un minimum de contrôle sur ce défilé incessant d’inconnus qui viole son intimité « à l’insu de son plein gré ». La visite virtuelle permet de mettre fin à l’idée reçue du « plus il y a de visites, plus l’agence est efficace ». Non, ça c’était avant.
– Réduire le nombre de visites avec un ratio d’une visite à réaliser au lieu de 5 ou 6 auparavant. Lorsque l’on sait qu’une visite dure entre trente minutes et une heure en moyenne environ, on comprend pourquoi les agences immobilières ont fait le choix d’opter pour une visite virtuelle afin de gagner en efficacité et d’économiser environ 5 heures par bien et par agent; un temps précieux que l’agent pourra attribuer à la prospection.
– Des visites plus qualifiées : l’acquéreur potentiel est celui qui a déjà pré-visualisé le bien au travers de cette visite virtuelle en ligne et qui souhaite revoir ce bien pour en apprécier les aspect cette fois physiquement, une étape nécessaire pour le client afin de se projeter définitivement.
– Limiter les visites aux seuls clients véritablement intéressés et ainsi limiter le facteur négociation. La visite virtuelle au delà de permettre un gain de temps, permet surtout d’avoir des visites très qualitatives. La majorité des gens qui vont voir ce bien ont déjà la visite virtuelle en tête en arrivant et savent déjà à quoi s’attendre: ils ont déjà « pré-validé » le bien proposé ». Le déplacement pour la visite consiste pour eux à la fois de vérifier que la réalité est conforme à ce qu’ils ont vu depuis leur ordinateur ou leur smartphone mais surtout à confirmer si c’est le cas, leur souhait d’acquérir le bien. L’offre est effectuée très souvent à la suite de la visite ou dans les heures qui suivent. Les gens qui viennent voir un bien physiquement en ayant déjà vu la visite virtuelle vont avoir tendance à se positionner plus rapidement, conscient de vouloir être les premiers à faire une offre significative, moins négociée car ils sont vraiment acheteurs.
En résumé, plus l’agence est professionnelle, moins un vendeur doit espérer de visites. La visite virtuelle est un réel antidote au phénomène du Real Estate Porn. Elle permet à elle seule de diviser le nombre de visites par 5 ou 8 selon les zones géographiques et/ou les biens.
Une agence qui vous amène plus 10 visites aujourd’hui n’est plus une agence efficace mais au contraire une agence qui n’aura exercé aucun filtre sur son process de commercialisation. La visite virtuelle est devenue aussi importante que la vérification de la solvabilité du client, hors celle ci ne peut généralement intervenir qu’après la visite et le positionnement de l’acquéreur potentiel sur une offre d’achat.
